• Le massacre de Oradour sur Glane

                Le massacre de Oradour sur Glane est la destruction le 10 juin 1944, de ce village de la Haute Vienne situé à une vingtaine de kilomètres de Limoges, et le massacre de sa population (642 victimes), par un détachement de la 1ere division de blindés, appartenant à la division ''Das Reich'' de la waffen SS. Il s'agit du plus grand massacre de population civile à l'ouest par l'armée allemande, qui transpose sur le front de l'Ouest des pratiques courantes sur le front de l'Est.

                Le village martyr a été laissé tel quel depuis ces tristes événements. Il est devenu en France le symbole de la barbarité nazie. Chaque année le souvenir est célébré par '' le centre de la mémoire d'Oradour sur Glane'' construit à l'entrée du village.

    le village avait été totalement encerclé dès 10 heures le matin

    les habitants furent regroupés sur la place centrale

     

    le village n'avait jamais fait parler de lui ni en tant que résistant, ni en tant que contestataire

    c'était un village qualifié de ''paisible''

    les allemands prétendaient chercher des caches d'armes.

    Mais ils savaient pertinemment qu'il n'y en avait pas

    en fait le massacre avait été planifié bien avant pour terroriser les populations

    et les résistants des maquis de Tulle

    sur la place ont été aussi amenés les enfants des écoles

    personnes ne se méfiait. Il n'y avait jamais eu d'histoire et les gens pensaient que c'était un contrôle

    et qu'après ils pourraient retourner à leurs occupations

    l'inquiétude a commencé à naitre quand les nazis ont séparé les hommes des femmes et des enfants.

    les hommes ont été repartis dans différentes maisons où ils ont été mitraillés.

    Il y eut 5 survivants parmi eux

    les femmes et les enfants ont été conduits dans l'église

    là les nazis ont bloqué toutes les issues, et ont fait exploser une forte charge

    pour que la voûte s'écroule sur les gens amassé dessous, mais la voûte a résisté

    Ils ont alors jeté à l’intérieur des grenades incendiaires, des grenades offensives tout en mitraillant

    les malheureux depuis les fenêtres. Le chaos à l’intérieur et les cris étaient indescriptibles.

    Seule une femme survécut par miracle en réussissant à s'enfuir sous les balles

    après avoir pu passer par une fenêtre. C'est elle qui témoignera au procès des bourreaux

    qui se tiendra après la guerre.

     

     

     

     

     


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique